Rendez-vous orbital
Modérateur : moderateur
Rendez-vous orbital
par cyberpapi le 01/02/2014 à 16:51
Bonjour, j'ai un devoir sous forme de texte argumenté à faire et je n'ai que trois jour pour le faire. On nous a donner plusieurs documents:
- Qu'est-ce qu'une orbite
Une pierre choisie-t-elle son chemin
- La seule route de l'espace
- Premier rendez-vous spatial réussi pour la Chine
- Rendez- vous orbital
Voici la consigne : A partir des documents et de vos connaissances, expliquez en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la Chine l'a réalisé pour la première fois de son histoire le 3 novembre 2011.
Bonsoir, voici ce que j'ai fait jusque là sachant que le devoir ne doit contenir que 30 lignes.
Le 3 novembre 2011, la Chine entre dans l'histoire avec son premier rendez-vous orbital qui fut un succès. Cette manœuvre est une rencontre organisée dans l'espace entre un engin spatial et un objet céleste habités et que ceux-ci s'amarrent l'un à l'autre, ce qui est délicat.
On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultées à surmonter pour en opérer un comme la Chine l'a réalisée pour la première fois de son histoire le 3 novembre 2011.
Deux jours après le lancement du vaisseau spatial Shenzhou-8, la Chine à réussi à l'amarrer à Tiàgong-1.
Réussir un rendez-vous spatial n'est pas un jeu d'enfant. En effet, il est indispensable de maîtriser plusieurs paramètres des 4 phases menant à l'amarrage : le lancement, le rattrapage, l'approche et le docking.
Il est également indispensable de prendre en compte plusieurs informations: tout d'abord, tour corps céleste est soumis à la gravitation, une orbite suis une tout e inévitable et ininterrompue et une pierre est contrainte de suivre le trajet que lui impose l'attraction de la Terre. D'ailleurs, un véhicule spatiale ne peut pas s'arrêter pu changer de direction, par exemple, un satellite ne peut pas faire demi-tour, s'immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement.
Le mécanisme orbital, aussi connue sous le nom de " sciences des fusées" dispose de trois principes de base.
Le temps nécessaire pour exécuter une orbite est dèterminé par l'attitude du vaisseau spatial.
Je dois rendre ce travail demain et je suis en panique, merci de me répondre
Bonjour, j'ai un devoir sous forme de texte argumenté à faire et je n'ai que trois jour pour le faire. On nous a donner plusieurs documents:
- Qu'est-ce qu'une orbite
Une pierre choisie-t-elle son chemin
- La seule route de l'espace
- Premier rendez-vous spatial réussi pour la Chine
- Rendez- vous orbital
Voici la consigne : A partir des documents et de vos connaissances, expliquez en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la Chine l'a réalisé pour la première fois de son histoire le 3 novembre 2011.
Bonsoir, voici ce que j'ai fait jusque là sachant que le devoir ne doit contenir que 30 lignes.
Le 3 novembre 2011, la Chine entre dans l'histoire avec son premier rendez-vous orbital qui fut un succès. Cette manœuvre est une rencontre organisée dans l'espace entre un engin spatial et un objet céleste habités et que ceux-ci s'amarrent l'un à l'autre, ce qui est délicat.
On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultées à surmonter pour en opérer un comme la Chine l'a réalisée pour la première fois de son histoire le 3 novembre 2011.
Deux jours après le lancement du vaisseau spatial Shenzhou-8, la Chine à réussi à l'amarrer à Tiàgong-1.
Réussir un rendez-vous spatial n'est pas un jeu d'enfant. En effet, il est indispensable de maîtriser plusieurs paramètres des 4 phases menant à l'amarrage : le lancement, le rattrapage, l'approche et le docking.
Il est également indispensable de prendre en compte plusieurs informations: tout d'abord, tour corps céleste est soumis à la gravitation, une orbite suis une tout e inévitable et ininterrompue et une pierre est contrainte de suivre le trajet que lui impose l'attraction de la Terre. D'ailleurs, un véhicule spatiale ne peut pas s'arrêter pu changer de direction, par exemple, un satellite ne peut pas faire demi-tour, s'immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement.
Le mécanisme orbital, aussi connue sous le nom de " sciences des fusées" dispose de trois principes de base.
Le temps nécessaire pour exécuter une orbite est dèterminé par l'attitude du vaisseau spatial.
Je dois rendre ce travail demain et je suis en panique, merci de me répondre
Re: Rendez-vous orbital
Bonjour Chantal,
Que voulez-vous savoir exactement ?
Veuillez poser une question précise s'il vous plait afin que nous puissions vous aider.
A tout de suite.
Que voulez-vous savoir exactement ?
Veuillez poser une question précise s'il vous plait afin que nous puissions vous aider.
A tout de suite.
Re: Rendez-vous orbital
Merci de m'avoir répondu aussi vite. J'aimerai savoir ce que vous pensez de ce texte et si il suis bien la consigne demandée par le professeur.
Merci
Merci
Re: Rendez-vous orbital
Bonsoir Chantal,
N'ayant aucun de vos documents, je ne vois pas trop comment vous aider.
Je vous donne quelques capacités à mettre en œuvre pour faire une bonne synthèse argumentée :
- Essayez de bien lire tous les documents proposés.
- Il faut ensuite en extraire les mots clés.
- Il faut ensuite les organiser et les reformuler afin de reconstituer les idées du texte.
- N'oubliez pas de mobiliser vos connaissances et de vérifier l'exactitude des documents.
- Pensez à faire une introduction.
- Faites une liste des arguments de façon ordonnée et reliez les par des connecteurs logiques : de plus, et, or, mais , donc , car,...
- Faites une phrase par argument.
- N'oubliez pas ensuite de faire une conclusion.
Voilà, maintenant c'est à vous d'agir,
Bon courage.
N'ayant aucun de vos documents, je ne vois pas trop comment vous aider.
Je vous donne quelques capacités à mettre en œuvre pour faire une bonne synthèse argumentée :
- Essayez de bien lire tous les documents proposés.
- Il faut ensuite en extraire les mots clés.
- Il faut ensuite les organiser et les reformuler afin de reconstituer les idées du texte.
- N'oubliez pas de mobiliser vos connaissances et de vérifier l'exactitude des documents.
- Pensez à faire une introduction.
- Faites une liste des arguments de façon ordonnée et reliez les par des connecteurs logiques : de plus, et, or, mais , donc , car,...
- Faites une phrase par argument.
- N'oubliez pas ensuite de faire une conclusion.
Voilà, maintenant c'est à vous d'agir,
Bon courage.
Re: Rendez-vous orbital
Merci beaucoup, je prendrai en compte vos conseils et je vais terminer mon travail grâce à vous
Re: Rendez-vous orbital
Pas de problème nous sommes là pour vous aider.
N'hésitez pas à revenir au besoin.
N'hésitez pas à revenir au besoin.
Re: Rendez-vous orbital
Voici l’intégrale du devoir maison à effectuer :
Un rendez-vous orbital entre deux satellites sur la même orbite est impossible sans changement d’orbite, ce qui rend cette manœuvre très délicate. Etudions cette technique bien maîtrisée par tous les conquérants de l’espace.
A partir des documents et de vos connaissances, expliquez en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la chine l’a réalisé pour la première fois le 3 novembre 2011.
Le texte rédigé, de 25 à 30 lignes, devra être clair et structuré, et l’argumentation reposera sur l’ensemble des documents proposés.
Document 1 : Qu’est-ce qu’une orbite ?
Une pierre qui tombe choisit-elle son chemin ?
A l’évidence, non : elle est contrainte de suivre le trajet que lui impose l’attraction de la Terre. Contrairement aux idées que nous suggèrent le cinéma et la littérature de science-fiction, un vaisseau spatial ne peut pas évoluer librement dès lors qu’il a franchi la barrière de l’atmosphère terrestre.
Pas de demi-tour, de virage brutal ou encore de stationnement : sous son aspect tranquille, la Terre tient fermement sous contrôle tous les habitants de sa banlieue et leur impose la loi à laquelle tout corps céleste est soumis : la gravitation.
Véritable projectile, un objet spatial qu’il soit satellite, sonde ou encore planète, comète ou astéroïde est lancé à une vitesse vertigineuse sur une route ininterrompue et inévitable : son orbite.
Document 2 : La seule route de l’espace
Contrairement à une idée très répandue, une orbite n’est pas nécessairement une trajectoire fermée et circulaire autour de la Terre. En effet, tous les corps célestes évolues selon le même principe et sont soumis à la gravitation : satellite naturels et artificiels tournent autour des planètes ; planètes, comètes et astéroïdes tournent autour du soleil etc.
Lorsqu’une sonde se détache de l’attraction terrestre, elle n’en est donc pas libre pour autant : elle est alors soumise à l’attraction du Soleil, avant de rencontrer une autre planète.
Un véhicule spatial, qu’il soit en orbite autour de la Terre ou lancé aux confins de l’espace, n’avance en générale pas grâce à un moteur. Il ne peut pas non plus manœuvrer comme un véhicule terrestre : par exemple, il ne peut pas s’arrêter ou changer de direction.
Un engin capable de circuler dans l’espace est nécessairement un projectile, qui a été lancé avec une certaine vitesse : son seul « moteur » est désormais la gravité des corps qu’il croise sur leur chemin.
Un satellite ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan, virer brutalement.
Toutefois, un satellite artificiel dispose de moyens de propulsion : en se retournant sur lui-même, il peut ainsi accélérer ou décélérer et modifier sa trajectoire tout en restant dans son plan orbital. Il peut éventuellement corriger très légèrement l’inclinaison de ce plan ,mais au prix d’une forte consommation de carburant.
L’orbite de transfert lorsque le lanceur se sépare d’un satellite géostationnaire, ce dernier n’est pas encore sur son orbite définitive. Au point d’injection, l’altitude et la vitesse le place naturellement sur une orbite elliptique dont le périgée vaut 200 km et l’apogée environ 36 000 km. Par ses propres moyens de propulsion, il circularise ensuite son orbite à l’aide de 3 poussées successives.
Document 3 : Premier rendez-vous spatial réussi pour la Chine
Moins de dix ans après son premier vol habité, la Chine dispose de toutes la technologies nécessaires pour la construction d’une station spatiale. Elle vient d’amarrer Schenzhou-8 au module Tiangong-1. Aujourd'hui, Elle sait envoyer des Hommes dans l’espace, les ramener en sécurité, les faire sortir dans l’espace et lancer des modules et les amarrer ensemble.
Deux jours après le lancement du vaisseau spatial Shenzhou-8, la Chine a réussi à l’amarrer à Tiangong-1, le module orbital qu’elle avait lancé le 29 septembre. Une manœuvre réalisée à près de 340 kilomètres d’altitude, au-dessus du territoire chinois. Plus loin dans l’espace, le cargo spatial russe Progress, lancé le 30 octobre s’est amarré à la Station spatiale.
Cette performance, car c’en est une, est à saluer car les rendez-vous orbitaux ne sont pas une mince affaire. Cela nécessite de maîtriser plusieurs paramètres des quatre phases menant à l'amarrage. Celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Le porte-parole du Programme chinois de vol habité a indiqué que les deux engins resteront amarrés pendant au moins douze jours avant de se séparer pour s’amarrer de nouveau ensemble, à une date qui n'a pas encore été arrêtée. « La Chine dispose désormais des technologies essentielles et de la capacité nécessaire à la construction d'une station spatiale », s'est félicité l'ingénieur en chef Zhou Jianping, cité par l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Document 4 : Rendez- vous orbital
Pour comprendre le raisonnement qui se cache derrière chacun des différents événements survenant au cours des manoeuvres de rendez-vous, il nous faudra supporter un peu d'informations de fond. Il y a trois principes de base qui régissent la mécanique orbitale. La mécanique orbitale, on l'a souvent dit, est réellement la "science des fusées" et beaucoup de concepts ne sont pas nécessairement évidents. Le plus important : il faut se souvenir que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps centraux ; de là, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Le mouvement en ligne droite est à peine nécessaire et exigerait une dépense d'énergie au-delà des capacités de n'importe quel vaisseau spatial.
En premier lieu, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminé par l'altitude du vaisseau spatial. Plus l'orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre (ou de la Lune). Ce principe est utilisé quant un vaisseau doit en capturer un autre ; en abaissant son orbite, un poursuivant peut réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif. En même temps, lorsqu'un vaisseau spatial est en orbite à l'avant de sa cible, le fait de manoeuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, permettant à la cible de le rattraper. Notez que le vaisseau en orbite inférieure parcourra plus de chemin, non seulement grâce à une distance plus courte mais aussi grâce à une vitesse plus élevée.
Ce besoin de modifier l'orbite nous amène au second principe important. La technique la plus simple et la plus efficace utilisée pour les manoeuvres orbitales est appelée le transfert de Hohmann. Pour augmenter l'apogée d'une orbite, une poussée est appliquée dans le sens du vol à un point situé à 180° de la nouvelle apogée désirée. L'abaissement d'une orbite est effectué de la même façon : une poussée pour réduire la vitesse diminuera l'altitude du vaisseau spatial à 180° du point d'allumage.
Et voici mon travaille :
Introduction :
La Chine a mené à bien le 3 novembre 2011 son premier rendez-vous spatial avec des astronautes à bord, un peu plus de sept mois après être parvenue à réaliser cette prouesse technique avec deux vaisseaux inhabités. Le rendez-vous spatial nécessite, cependant, de réaliser des manœuvres complexes et donc de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage.
Ainsi, en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la chine l’a réalisé pour la première fois le 3 novembre 2011.
Un rendez-vous spatial, en astronautique, est une rencontre organisée dans l'espace entre engins spatiaux, ou entre un engin spatial et un objet céleste1 à une vitesse relative nulle ou très faible. S'il s'agit d'un rendez-vous entre deux engins spatiaux habités et que ceux-ci s'amarrent l'un à l'autre, il peut y avoir mise en communication entre les espaces pressurisés ce qui nécessite de disposer d'un système de sas étanche.
Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital. Le plan orbital est pratiquement déterminé par les conditions de lancement car une fois en orbite le changement de plan orbital n'est plus possible compte tenu de la grande quantité de carburant qu'il nécessite. Si le rendez-vous se déroule en orbite basse, il existe chaque jour deux fenêtres de lancement de quelques minutes permettant de placer le vaisseau chasseur sur le même plan orbital que le vaisseau cible (à condition que l'inclinaison de l'orbite du vaisseau cible soit supérieure à celle de la base de lancement).
D’autre parts, Les rendez-vous orbitaux de réaliser des manœuvres complexes et donc de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage. Celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Je n’ai pas réussi à faire le reste que je ne trouve pas bien rédigé je vous remecie de votre aide précieuse et de votre réponse rapide.
Un rendez-vous orbital entre deux satellites sur la même orbite est impossible sans changement d’orbite, ce qui rend cette manœuvre très délicate. Etudions cette technique bien maîtrisée par tous les conquérants de l’espace.
A partir des documents et de vos connaissances, expliquez en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la chine l’a réalisé pour la première fois le 3 novembre 2011.
Le texte rédigé, de 25 à 30 lignes, devra être clair et structuré, et l’argumentation reposera sur l’ensemble des documents proposés.
Document 1 : Qu’est-ce qu’une orbite ?
Une pierre qui tombe choisit-elle son chemin ?
A l’évidence, non : elle est contrainte de suivre le trajet que lui impose l’attraction de la Terre. Contrairement aux idées que nous suggèrent le cinéma et la littérature de science-fiction, un vaisseau spatial ne peut pas évoluer librement dès lors qu’il a franchi la barrière de l’atmosphère terrestre.
Pas de demi-tour, de virage brutal ou encore de stationnement : sous son aspect tranquille, la Terre tient fermement sous contrôle tous les habitants de sa banlieue et leur impose la loi à laquelle tout corps céleste est soumis : la gravitation.
Véritable projectile, un objet spatial qu’il soit satellite, sonde ou encore planète, comète ou astéroïde est lancé à une vitesse vertigineuse sur une route ininterrompue et inévitable : son orbite.
Document 2 : La seule route de l’espace
Contrairement à une idée très répandue, une orbite n’est pas nécessairement une trajectoire fermée et circulaire autour de la Terre. En effet, tous les corps célestes évolues selon le même principe et sont soumis à la gravitation : satellite naturels et artificiels tournent autour des planètes ; planètes, comètes et astéroïdes tournent autour du soleil etc.
Lorsqu’une sonde se détache de l’attraction terrestre, elle n’en est donc pas libre pour autant : elle est alors soumise à l’attraction du Soleil, avant de rencontrer une autre planète.
Un véhicule spatial, qu’il soit en orbite autour de la Terre ou lancé aux confins de l’espace, n’avance en générale pas grâce à un moteur. Il ne peut pas non plus manœuvrer comme un véhicule terrestre : par exemple, il ne peut pas s’arrêter ou changer de direction.
Un engin capable de circuler dans l’espace est nécessairement un projectile, qui a été lancé avec une certaine vitesse : son seul « moteur » est désormais la gravité des corps qu’il croise sur leur chemin.
Un satellite ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan, virer brutalement.
Toutefois, un satellite artificiel dispose de moyens de propulsion : en se retournant sur lui-même, il peut ainsi accélérer ou décélérer et modifier sa trajectoire tout en restant dans son plan orbital. Il peut éventuellement corriger très légèrement l’inclinaison de ce plan ,mais au prix d’une forte consommation de carburant.
L’orbite de transfert lorsque le lanceur se sépare d’un satellite géostationnaire, ce dernier n’est pas encore sur son orbite définitive. Au point d’injection, l’altitude et la vitesse le place naturellement sur une orbite elliptique dont le périgée vaut 200 km et l’apogée environ 36 000 km. Par ses propres moyens de propulsion, il circularise ensuite son orbite à l’aide de 3 poussées successives.
Document 3 : Premier rendez-vous spatial réussi pour la Chine
Moins de dix ans après son premier vol habité, la Chine dispose de toutes la technologies nécessaires pour la construction d’une station spatiale. Elle vient d’amarrer Schenzhou-8 au module Tiangong-1. Aujourd'hui, Elle sait envoyer des Hommes dans l’espace, les ramener en sécurité, les faire sortir dans l’espace et lancer des modules et les amarrer ensemble.
Deux jours après le lancement du vaisseau spatial Shenzhou-8, la Chine a réussi à l’amarrer à Tiangong-1, le module orbital qu’elle avait lancé le 29 septembre. Une manœuvre réalisée à près de 340 kilomètres d’altitude, au-dessus du territoire chinois. Plus loin dans l’espace, le cargo spatial russe Progress, lancé le 30 octobre s’est amarré à la Station spatiale.
Cette performance, car c’en est une, est à saluer car les rendez-vous orbitaux ne sont pas une mince affaire. Cela nécessite de maîtriser plusieurs paramètres des quatre phases menant à l'amarrage. Celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Le porte-parole du Programme chinois de vol habité a indiqué que les deux engins resteront amarrés pendant au moins douze jours avant de se séparer pour s’amarrer de nouveau ensemble, à une date qui n'a pas encore été arrêtée. « La Chine dispose désormais des technologies essentielles et de la capacité nécessaire à la construction d'une station spatiale », s'est félicité l'ingénieur en chef Zhou Jianping, cité par l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Document 4 : Rendez- vous orbital
Pour comprendre le raisonnement qui se cache derrière chacun des différents événements survenant au cours des manoeuvres de rendez-vous, il nous faudra supporter un peu d'informations de fond. Il y a trois principes de base qui régissent la mécanique orbitale. La mécanique orbitale, on l'a souvent dit, est réellement la "science des fusées" et beaucoup de concepts ne sont pas nécessairement évidents. Le plus important : il faut se souvenir que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps centraux ; de là, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Le mouvement en ligne droite est à peine nécessaire et exigerait une dépense d'énergie au-delà des capacités de n'importe quel vaisseau spatial.
En premier lieu, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminé par l'altitude du vaisseau spatial. Plus l'orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre (ou de la Lune). Ce principe est utilisé quant un vaisseau doit en capturer un autre ; en abaissant son orbite, un poursuivant peut réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif. En même temps, lorsqu'un vaisseau spatial est en orbite à l'avant de sa cible, le fait de manoeuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, permettant à la cible de le rattraper. Notez que le vaisseau en orbite inférieure parcourra plus de chemin, non seulement grâce à une distance plus courte mais aussi grâce à une vitesse plus élevée.
Ce besoin de modifier l'orbite nous amène au second principe important. La technique la plus simple et la plus efficace utilisée pour les manoeuvres orbitales est appelée le transfert de Hohmann. Pour augmenter l'apogée d'une orbite, une poussée est appliquée dans le sens du vol à un point situé à 180° de la nouvelle apogée désirée. L'abaissement d'une orbite est effectué de la même façon : une poussée pour réduire la vitesse diminuera l'altitude du vaisseau spatial à 180° du point d'allumage.
Et voici mon travaille :
Introduction :
La Chine a mené à bien le 3 novembre 2011 son premier rendez-vous spatial avec des astronautes à bord, un peu plus de sept mois après être parvenue à réaliser cette prouesse technique avec deux vaisseaux inhabités. Le rendez-vous spatial nécessite, cependant, de réaliser des manœuvres complexes et donc de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage.
Ainsi, en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un, comme la chine l’a réalisé pour la première fois le 3 novembre 2011.
Un rendez-vous spatial, en astronautique, est une rencontre organisée dans l'espace entre engins spatiaux, ou entre un engin spatial et un objet céleste1 à une vitesse relative nulle ou très faible. S'il s'agit d'un rendez-vous entre deux engins spatiaux habités et que ceux-ci s'amarrent l'un à l'autre, il peut y avoir mise en communication entre les espaces pressurisés ce qui nécessite de disposer d'un système de sas étanche.
Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital. Le plan orbital est pratiquement déterminé par les conditions de lancement car une fois en orbite le changement de plan orbital n'est plus possible compte tenu de la grande quantité de carburant qu'il nécessite. Si le rendez-vous se déroule en orbite basse, il existe chaque jour deux fenêtres de lancement de quelques minutes permettant de placer le vaisseau chasseur sur le même plan orbital que le vaisseau cible (à condition que l'inclinaison de l'orbite du vaisseau cible soit supérieure à celle de la base de lancement).
D’autre parts, Les rendez-vous orbitaux de réaliser des manœuvres complexes et donc de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage. Celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Je n’ai pas réussi à faire le reste que je ne trouve pas bien rédigé je vous remecie de votre aide précieuse et de votre réponse rapide.
Re: Rendez-vous orbital
Bonjour Chantal, la réponse que vous rédigez doit reprendre les arguments avancés dans le texte. J'ai l'impression que vous avez ajouté des informations qui n'étaient pas dans le texte (vous parler de deux fenêtres de tirs et je n'ai pas retrouvé cela dans les documents, mais peut-être que je me trompe).
Les documents insistent assez sur la notion de vitesse et d"orbite. Je pense que là vous pouvez argumenter sur cette notion en vous appuyant sur une étude cinétique qui relierait la vitesse et l'altitude d'un satellite. Je pense que vous avez du faire un exercice de ce type en cours. Ainsi vous pourriez justifier le fait que plus le satellite est haut, plus sa vitesse est faible par exemple.
Les documents insistent assez sur la notion de vitesse et d"orbite. Je pense que là vous pouvez argumenter sur cette notion en vous appuyant sur une étude cinétique qui relierait la vitesse et l'altitude d'un satellite. Je pense que vous avez du faire un exercice de ce type en cours. Ainsi vous pourriez justifier le fait que plus le satellite est haut, plus sa vitesse est faible par exemple.
Re: Rendez-vous orbital
Merci de votre réponse, je vais essayer de refaire mon exercice et je vous l’enverrai.
A toute à l'heure
A toute à l'heure
Re: Rendez-vous orbital
Bonjour, voilà, j'ai essayer de faire un travail de meilleur qualité. Les titre ne sont là que pour vous indiquer ce que j'ai essayer de développer dans mes parties.
Je doit rendre ce devoir demain et j'aimerai énormément que vous puissiez m'indiquer si mon travail est bon et en accord avec les documents que je vous avez envoyer avant.
Serai-ce également possible que vous me corrigiez là ou il il faudrait faire des modifications.
Merci pour votre aide.
La Chine entre pour la première fois dans l’histoire le 3 novembre 2011 avec la réalisation de son premier rendez-vous orbital. Elle dispose ainsi de toutes les technologies nécessaires est parvient à maîtriser plusieurs paramètres lui permettant cet exploit. On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un.
I- Le rendez-vous orbital
Un rendez-vous orbital consiste en une rencontre organisée dans l’espace entre véhicules spatiaux. L’amarrage nécessite de maîtriser plusieurs paramètres. Celle du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Pour que l'arrimage se produise dans de bonnes conditions, il est nécessaire que les deux vaisseaux aient à un instant donné la même position et la même vitesse. Un rendez-vous orbital est réussi lorsque le vaisseau chasseur et le vaisseau cible circule dans le même plan orbital.
Pour se faire, on peut abaisser une orbite, le poursuivant pourrait ainsi réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif.
De plus, lorsqu’un vaisseau spatiale est en orbite à l’avant de sa cible, le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, ce qui permettra à la cible de le rattraper.
Il existe un second principe permettant de modifier l’orbite, le transfert de Hohmann. Il s’agit d’une opération consistant à faire passer un engin spatial d'une orbite à une autre orbite coplanaire en suivant une orbite de transfert, avec une dépense d'énergie minimale, par deux impulsions fournies aux extrémités du grand axe de cette orbite de transfert.
II- Le rendez-vous orbital présente plusieurs difficultés
Dans un second temps, le rendez-vous orbital nécessite de réaliser des manœuvres complexes. Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital.
On sait que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps ancestraux ; ainsi, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Un vahicule spatiale n’avance pas grâce à un moteur, hormis la gravité des corps qu’il croise sur son chemin, il ne manœuvre pas non plus comme un véhicule terrestre. En effet, il ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement. Toutefois, pour un satellite artficiel, il est possible d’accélérer ou de décélérer et donc, tout en restant dans son plan orbital, de modifier sa trajectoire.
De plus, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminée par l’altitude du vaisseau spatial.
Il est également nécessaire de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage, celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Plus l’orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre. Il est possible de manœuvrer dans une orbite plus haute qui va ralentir le poursuivant et permettre à la cible de la rattraper.
Ainsi, le rendez-vous orbital, qui consiste en rencontre organisée dans l’espace, nécessite de maîtriser plusieurs paramètres ainsi que des manœuvres complexes. Il existe notamment le transfert de Hohmann ou encore le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute, qui permettrons la rencontre des deux objets spatiaux dans le même plan orbital.
Je doit rendre ce devoir demain et j'aimerai énormément que vous puissiez m'indiquer si mon travail est bon et en accord avec les documents que je vous avez envoyer avant.
Serai-ce également possible que vous me corrigiez là ou il il faudrait faire des modifications.
Merci pour votre aide.
La Chine entre pour la première fois dans l’histoire le 3 novembre 2011 avec la réalisation de son premier rendez-vous orbital. Elle dispose ainsi de toutes les technologies nécessaires est parvient à maîtriser plusieurs paramètres lui permettant cet exploit. On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un.
I- Le rendez-vous orbital
Un rendez-vous orbital consiste en une rencontre organisée dans l’espace entre véhicules spatiaux. L’amarrage nécessite de maîtriser plusieurs paramètres. Celle du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Pour que l'arrimage se produise dans de bonnes conditions, il est nécessaire que les deux vaisseaux aient à un instant donné la même position et la même vitesse. Un rendez-vous orbital est réussi lorsque le vaisseau chasseur et le vaisseau cible circule dans le même plan orbital.
Pour se faire, on peut abaisser une orbite, le poursuivant pourrait ainsi réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif.
De plus, lorsqu’un vaisseau spatiale est en orbite à l’avant de sa cible, le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, ce qui permettra à la cible de le rattraper.
Il existe un second principe permettant de modifier l’orbite, le transfert de Hohmann. Il s’agit d’une opération consistant à faire passer un engin spatial d'une orbite à une autre orbite coplanaire en suivant une orbite de transfert, avec une dépense d'énergie minimale, par deux impulsions fournies aux extrémités du grand axe de cette orbite de transfert.
II- Le rendez-vous orbital présente plusieurs difficultés
Dans un second temps, le rendez-vous orbital nécessite de réaliser des manœuvres complexes. Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital.
On sait que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps ancestraux ; ainsi, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Un vahicule spatiale n’avance pas grâce à un moteur, hormis la gravité des corps qu’il croise sur son chemin, il ne manœuvre pas non plus comme un véhicule terrestre. En effet, il ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement. Toutefois, pour un satellite artficiel, il est possible d’accélérer ou de décélérer et donc, tout en restant dans son plan orbital, de modifier sa trajectoire.
De plus, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminée par l’altitude du vaisseau spatial.
Il est également nécessaire de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage, celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Plus l’orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre. Il est possible de manœuvrer dans une orbite plus haute qui va ralentir le poursuivant et permettre à la cible de la rattraper.
Ainsi, le rendez-vous orbital, qui consiste en rencontre organisée dans l’espace, nécessite de maîtriser plusieurs paramètres ainsi que des manœuvres complexes. Il existe notamment le transfert de Hohmann ou encore le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute, qui permettrons la rencontre des deux objets spatiaux dans le même plan orbital.
Re: Rendez-vous orbital
Bonjour, voici le travail que j'ai essayer d'améliorer. Je dois le rendre demain et je voulais vous demander si vous pouviez me dire ce que vous en pensez et éventuellement me corriger si vous voyer des erreurs ou encore un travail mal fait. Je ne pense pas faire meiux et j'y ai énormément réfléchi. Ce seai vraiement très gentil de votre part si vous pouviez me corriger là ou il y aurai des modifications à faire, merci.
Encore merci
La Chine entre pour la première fois dans l’histoire le 3 novembre 2011 avec la réalisation de son premier rendez-vous orbital. Elle dispose ainsi de toutes les technologies nécessaires est parvient à maîtriser plusieurs paramètres lui permettant cet exploit. On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un.
I- Le rendez-vous orbital
Un rendez-vous orbital consiste en une rencontre organisée dans l’espace entre véhicules spatiaux. L’amarrage nécessite de maîtriser plusieurs paramètres. Celle du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Pour que l'arrimage se produise dans de bonnes conditions, il est nécessaire que les deux vaisseaux aient à un instant donné la même position et la même vitesse. Un rendez-vous orbital est réussi lorsque le vaisseau chasseur et le vaisseau cible circule dans le même plan orbital.
Pour se faire, on peut abaisser une orbite, le poursuivant pourrait ainsi réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif.
De plus, lorsqu’un vaisseau spatiale est en orbite à l’avant de sa cible, le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, ce qui permettra à la cible de le rattraper.
Il existe un second principe permettant de modifier l’orbite, le transfert de Hohmann. Il s’agit d’une opération consistant à faire passer un engin spatial d'une orbite à une autre orbite coplanaire en suivant une orbite de transfert, avec une dépense d'énergie minimale, par deux impulsions fournies aux extrémités du grand axe de cette orbite de transfert.
II- Le rendez-vous orbital présente plusieurs difficultés
Dans un second temps, le rendez-vous orbital nécessite de réaliser des manœuvres complexes. Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital.
On sait que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps ancestraux ; ainsi, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Un vahicule spatiale n’avance pas grâce à un moteur, hormis la gravité des corps qu’il croise sur son chemin, il ne manœuvre pas non plus comme un véhicule terrestre. En effet, il ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement. Toutefois, pour un satellite artficiel, il est possible d’accélérer ou de décélérer et donc, tout en restant dans son plan orbital, de modifier sa trajectoire.
De plus, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminée par l’altitude du vaisseau spatial.
Il est également nécessaire de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage, celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Plus l’orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre. Il est possible de manœuvrer dans une orbite plus haute qui va ralentir le poursuivant et permettre à la cible de la rattraper.
Ainsi, le rendez-vous orbital, qui consiste en rencontre organisée dans l’espace, nécessite de maîtriser plusieurs paramètres ainsi que des manœuvres complexes. Il existe notamment le transfert de Hohmann ou encore le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute, qui permettrons la rencontre des deux objets spatiaux dans le même plan orbital.
Encore merci
La Chine entre pour la première fois dans l’histoire le 3 novembre 2011 avec la réalisation de son premier rendez-vous orbital. Elle dispose ainsi de toutes les technologies nécessaires est parvient à maîtriser plusieurs paramètres lui permettant cet exploit. On peut donc se demander en quoi consiste un rendez-vous orbital et quelles sont les difficultés à surmonter pour en opérer un.
I- Le rendez-vous orbital
Un rendez-vous orbital consiste en une rencontre organisée dans l’espace entre véhicules spatiaux. L’amarrage nécessite de maîtriser plusieurs paramètres. Celle du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Pour que l'arrimage se produise dans de bonnes conditions, il est nécessaire que les deux vaisseaux aient à un instant donné la même position et la même vitesse. Un rendez-vous orbital est réussi lorsque le vaisseau chasseur et le vaisseau cible circule dans le même plan orbital.
Pour se faire, on peut abaisser une orbite, le poursuivant pourrait ainsi réduire la distance angulaire entre lui-même et son objectif.
De plus, lorsqu’un vaisseau spatiale est en orbite à l’avant de sa cible, le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute va ralentir le poursuivant, ce qui permettra à la cible de le rattraper.
Il existe un second principe permettant de modifier l’orbite, le transfert de Hohmann. Il s’agit d’une opération consistant à faire passer un engin spatial d'une orbite à une autre orbite coplanaire en suivant une orbite de transfert, avec une dépense d'énergie minimale, par deux impulsions fournies aux extrémités du grand axe de cette orbite de transfert.
II- Le rendez-vous orbital présente plusieurs difficultés
Dans un second temps, le rendez-vous orbital nécessite de réaliser des manœuvres complexes. Pour réussir un rendez-vous orbital entre deux vaisseaux, le vaisseau chasseur et le vaisseau cible, les deux vaisseaux doivent circuler dans le même plan orbital.
On sait que tout mouvement est exécuté sous la force de gravitation des corps ancestraux ; ainsi, tout se déplace dans des ellipses autour de ce corps. Un vahicule spatiale n’avance pas grâce à un moteur, hormis la gravité des corps qu’il croise sur son chemin, il ne manœuvre pas non plus comme un véhicule terrestre. En effet, il ne peut pas faire demi-tour, s’immobiliser, changer facilement de plan ou encore virer brutalement. Toutefois, pour un satellite artficiel, il est possible d’accélérer ou de décélérer et donc, tout en restant dans son plan orbital, de modifier sa trajectoire.
De plus, le temps nécessaire pour exécuter une orbite est déterminée par l’altitude du vaisseau spatial.
Il est également nécessaire de maîtriser plusieurs paramètres menant à l’amarrage, celles du lancement, du rattrapage, de l’approche et du docking.
Plus l’orbite est haute, plus il faudra de temps pour tourner complètement autour de la Terre. Il est possible de manœuvrer dans une orbite plus haute qui va ralentir le poursuivant et permettre à la cible de la rattraper.
Ainsi, le rendez-vous orbital, qui consiste en rencontre organisée dans l’espace, nécessite de maîtriser plusieurs paramètres ainsi que des manœuvres complexes. Il existe notamment le transfert de Hohmann ou encore le fait de manœuvrer dans une orbite plus haute, qui permettrons la rencontre des deux objets spatiaux dans le même plan orbital.
Re: Rendez-vous orbital
Bonjour, juste un petit conseil. Pour structurer votre argumentation, n'hésitez pas à nommer les documents dans lesquels vous avez trouvé une information utile. (Ex : D'après le document 3, ...) et n'hésitez pas à utiliser des connecteurs logiques (or, donc, parce que ....). Ceci aidera le lecteur à suivre votre argumentation qui doit être structurée et basé sur des enchaînements logiques.
Cordialement.
Cordialement.
Re: Rendez-vous orbital
merci beaucoup. Je ferai ces modifications.
Vous pensez que ce travail est bien ?
Vous pensez que ce travail est bien ?
Re: Rendez-vous orbital
Votre professeur vous demande une synthèse argumentée utilisant l'ensemble des documents fournis, est-ce le cas ? Avez-vous utilisé les documents 1 et 2, si ce n'est pas le cas, vous n'êtes pas en accord avec ce qui est demandé.
Je lis dans votre texte "corps ancestraux" ???
Je lis dans votre texte "corps ancestraux" ???