Bonjour, je n'ai pas réellement compris cette expérience.. Je sais simplement que son but est de démontrer l'invariance de la célérité de la lumière, tout comme celle d'Arago.
Quelqu'un voudrait bien m'expliquer? Comment exploite-t-elle le phénomène d'interférence, et en quoi ce dernier peut il être preuve de l'invariance de la célérité de la lumière?
Merci.
Expérience de Michelson et de Morley
Modérateur : moderateur
Re: Expérience de Michelson et de Morley
Bonjour,
Difficile de répondre sans schéma de l'expérience à cette question.
Je vous propose de lire un document à l'adresse ci-dessous qui me semble claire.
Il devrait vous aider à comprendre.
http://semsci.u-strasbg.fr/michmor.htm
Si vous avez des questions revenez nous voir.
Difficile de répondre sans schéma de l'expérience à cette question.
Je vous propose de lire un document à l'adresse ci-dessous qui me semble claire.
Il devrait vous aider à comprendre.
http://semsci.u-strasbg.fr/michmor.htm
Si vous avez des questions revenez nous voir.
Re: Expérience de Michelson et de Morley
On peut juste donner un éclairage sur ce qu'attendait Michelson & Morley lors de leurs expériences.
Les interférences observées pour une radiation monochromatiques sont des franges, alternant zones claires et zones sombres.
Du fait du mouvement de la Terre, ils s'attendaient à observer des caractéristiques variables pour la frange centrale en fonction de l'orientation des "deux bras" de l'interféromètre, et des saisons, ce qui n'a jamais été observée.
En conséquence, l'hypothèse de l'addition des vitesses n'est pas applicable à la lumière, et la seule possibilité est de considérer que la concernant, quelque soit l'orientation du rayon lumineux, que la source s'approche ou s'éloigne de l'observateur, sa célérité est constante.
On pourrait du reste faire l'hypothèse que les vitesses peuvent s'additionner ou se soustraire, pas les célérités .... (qui ont la dimension d'une vitesse, mais qui ne traduise que la vitesse de propagation d'une perturbation, et non d'un "objet" au sens physique du terme).
Les interférences observées pour une radiation monochromatiques sont des franges, alternant zones claires et zones sombres.
Du fait du mouvement de la Terre, ils s'attendaient à observer des caractéristiques variables pour la frange centrale en fonction de l'orientation des "deux bras" de l'interféromètre, et des saisons, ce qui n'a jamais été observée.
En conséquence, l'hypothèse de l'addition des vitesses n'est pas applicable à la lumière, et la seule possibilité est de considérer que la concernant, quelque soit l'orientation du rayon lumineux, que la source s'approche ou s'éloigne de l'observateur, sa célérité est constante.
On pourrait du reste faire l'hypothèse que les vitesses peuvent s'additionner ou se soustraire, pas les célérités .... (qui ont la dimension d'une vitesse, mais qui ne traduise que la vitesse de propagation d'une perturbation, et non d'un "objet" au sens physique du terme).